Max Goor est né dans les années soixante dix dans le nord de la france. Français de naissance, il a des origines belges du coté de son père et des origines espagnoles coté maternel.
Max Goor a commencé sa carrière musicale dans les années quatre-vingt-dix. Chanteur-guitariste, il est aussi auteur et compositeur. Plusieurs albums ont été publiés, deux albums solo et des albums de groupes avec Mess Distraction, Imarvic, King Groove Gang.
Album écrit, composé, arrangé, mixé et produit par Max Goor. Le mastering à été éffectué par Mathieu Parcheminal. Design pochette et illustrations par Vizion Communication. Voix et intruments par Max Goor sauf la batterie sur « How I Became A Fool » par Mauro Tahin, les arrangements cordes par Philippe Collas et les voix additionelles par Elise Fillette sur « Gipsy Pride »
Gipsy Pride a été enregistré et mixé avant et pendant les confinements successifs. La participation de seulement trois musiciens sur deux titres a pu être effectuée pendant la période. Des vidéos clips sont en préparation. Un spectacle live sera aussi mis en scène. 11 titres figurent sur cet album, chacuns d'eux vous emportent dans un univers de jazz latin, de flamenco et de musiques world basés sur du folk, du rock et du blues. Une atmosphère très originale se dégage de cet album, une voix, une identé propre à l'artiste qui vous entraine irresistiblement vers une écoute attentive. Les arrangements ont été soignés, les textes sicelés pour donner une immédiate sensation d'immersion dans l'univers de l'artiste. C'est un album de maturité, un travail personnel, une recherche d'identité sonore et stylistique qui comme le titre de l'album l'indique évoque la fierté du vagabon, la fierté « gipsy » d'avoir, après un long moment d'errance et d'introspection, réussit à trouver son appartenance, son point de resonnance et d'épanouissement ; un chez soit pour enfin s'établir et se réaliser.
Cet album parle ainsi d'une quête humaine. La quête d'identité et d'altruisme, d'amour, de communion, de partage et d'empathie (All Hopes Renewed & Gipsy Pride), il parle d'optimisme désespéré en un avenir plus humain (Optimistic Desperado) et du besoin de s'affranchir des barrières de notre société moderne qui, tel un labyrinthe, nous enferme (Lost In the Maze) et nous ostracise, avec en particulier, cette vision d'une population laissée à l'abandon tel ce petit « morveux » décrit dans la chanson « A little Runt ».
Cet album parle aussi d'une volonté d'exorciser certains de nos démons, comme celui de l'alcool (How I Became A Fool), de s'émanciper de toute formes d'asservissements (Your Slave), de retrouver une voie démocratique (So What, So What) et de sortir du rêve americain... (The American Dream).
Il parle aussi d'amour malheureux (The Blue Plumed Serpent) et de perversions sexuelles (The Man Is Mad).
Son album "Cavalières, ainsi nommé, est haut en couleurs tant au niveau des ces textes qu'au niveau des styles musicaux.
Sa pop est coquine, son groove est sensuel, sa soul est poétique, son reggae: politiquement incorrect et son rock vous rentre dans le lard! Cavalières est un album thématique basé sur les espiègleries de la vie conjugale.
C'est un excellent remède contre la morosité routinière! En 12 titres Max Goor raconte avec passion et humour les incongruités de la vie de couple. Épices, saveurs et scéne de
ménages sont au rendez vous...
Le Groupe MESS DISTRACTION a été fondé par le guitariste Rico Wipe et le chanteur Max Goor en 2010. Respectivement compositeur et auteur, Rico et Max ont enregistré une maquette d'album dans l'année et recruté d'autres musiciens pour interpréter leur créations sur scène, dont: Phil Collas aux claviers, orgues, samples et choeurs, Mathieu Parcheminal à la basse et aux choeurs, Alexandre Heurtebise à la batterie, Mess Distraction est ainsi né et a trouvé son nom en détournant un titre bien connu de Alice Cooper: "A Woman Of Mass Distraction"
Fondé par Max Goor en 1998, le King Groove Gang est un groupe de funk français s'inscrivant dans la tradition exubérante du genre avec ces références monarchiques incongrues. Une symbolique largement exploitée dans leurs grooves envoûtant, leurs riffs de basses, guitares et leur section cuivres étincelants. Avec une majorité de compositions en français, le groupe a déroulé depuis deux décennies un spectacle toujours plus flamboyant avec de nombreuses reprises des standards du Funk.
IMARVIC un rock puissant aux mélodies sensorielles,….
Extrait subtil de l'esprit des années 70 plongé dans les incertitudes de notre époque ….
La vague vintage a de beaux jours devant elle, preuve en est avec le premier album éponyme d’Imarvic, un groupe nous venant tout droit de Tours.
Enregistrée au MasterStudios au Mans (72) et masterisé par Ted Jensen, Sterling Sound NYC, cette galette réveille les effluves du rock des 70’s : des rythmes chauds et lourds, des guitares bien énervées délivrant des riffs endiablés et une grosse caisse qui prend aux tripes. Ils sont déterminés à jouer la musique qu’ils aiment en en tirant un maximum de plaisir.
Trio aux airs ventripotents,
guitare a mano chansons dans le vent,
chansons d'amour qu'il vente, qu'il neige, c'est leurs guitares qui vous trip hot!